Filpac CGT / Papète Tartas

La DRH de Tartas « règle les problèmes » à sa manière…

4 septembre 2023

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Quand on veut tuer son chien…


• Tartas, le 29 août 2023


Manifestement, notre DRH ne sait plus comment exister… Alors qu’elle avait prouvé à ses débuts ici qu’elle pouvait faire preuve d’intelligence et d’une certaine forme d’humanité rare dans cette profession, il faut croire que la situation compliquée que nous traversons lui fait perdre ses moyens. Voilà t’y pas qu’elle s’est auto-investie de la mission quasi-divine de « régler les problèmes ».
L’usine ne tourne pas ou mal, les incidents inquiétants se multiplient, on ne vend pas, le stock est au plus haut et la trésorerie au plus bas, le savoir faire disparaît continuellement, on n’arrive pas à embaucher…
C’est vrai qu’il y a du pain sur la planche !

Pour autant, que les ingénieurs fiabilité et sécurité, que les commerciaux chargés de vendre la pâte, et les comptables tenus de « sauvegarder le cash » se rassurent, il ne s’agit pas pour elle d’améliorer ces aspects là. Elle ne va pas leur piquer le boulot, elle a déjà plutôt tendance à déléguer le sien à ses petites mains sans lesquelles rien n’avancerait…
Non, dans la bouche de notre Super DRH« régler les problèmes », cela signifie licencier ou contraindre à la démission par la pression, les personnes qu’elle considère gênantes ou incompatibles avant qu’elles n’aient trop d’ancienneté (ça revient moins cher…). Pour cela, elle constitue des « dossiers » sur les salariés ; remplis de rumeurs, de commérages et d’à priori. Elle peut ensuite se targuer d’être objective et courageuse pour essayer de justifier ses bases besognes…

On prétend qu’il a la rage…
Sa dernière cible : Gabrielle Cayrefourcq (service comptabilité).
Après s’être vue notifier une dispense d’activité le 24 Juillet, cette dernière a été convoquée à un entretien préalable à un éventuel licenciement le mercredi 2 août dernier. Dans les griefs évoqués/inventés à cette occasion par son manager (attitude, « savoir être », prétendus problèmes relationnels, utilisation du téléphone…), rien ne justifiait une telle brutalité dans la démarche et dans le ton employé ! Même les comptes-rendus des entretiens individuels qu’elle a passés montrent qu’elle donnait satisfaction sur le plan professionnel.
Bien que nous l’ayons assurée de notre soutien, la teneur de l’entretien et la méthode employée ont fini par avoir raison de la capacité de Gabrielle à encaisser les mensonges, la méchanceté et la calomnie. Elle a finalement préféré accepter son sort plutôt que d’être à nouveau confrontée à la malveillance teintée de discrimination de ses supérieur(e)s.

Suite à ce dernier épisode, une question s’impose : a-t-on fait le tour de ce que pouvait apporter notre DRH de positif à notre usine ? Face à de tels agissements, nous ne pourrons pas faire moins que d’adapter notre attitude à son égard.

La Filpac CGT Papète Tartas